http://umbrellamusic.com/ DS: No, Jacquelyn ummm I need you to help me with the salad now in this here kitchen JF: Alright, alright. DS: So? JF: So what? DS: What do you think? JF: About your date? Shes cute. DS: No, what do you think about the album playing? JF: Oh, the Morning Star album, My Place In The Dust. Debut album from singer/songwriter Jesse D. Vernon produced by the wonderfully talented John Parrish. (PJ Harvey, Sparklehorse, Howe Gelb) DS: Exactly, I think Im really falling for this album, Jackie. JF: Any time an album treats you right you fall for it Just last week you were in love with the new Prefuse 73 record. DS: This album is not like the others. The opener I Heard Beauty Calling sets the mood for the entire recording with its swirling violins and beautiful lyrics. This how Nick Cave pictured the Bad Seeds would sound when they kicked heroin. JF: It was Nick Caves first band The Birthday Party that did too much heroin. DS: Yeah, but the comparison sounds better if I use The Bad Seeds. JF: Its your review. DS: Songs like Hereafter; Humming Song and Gravity build lazy Soundscapes through simple Waltzy melodies. Much of the album sounds like a lullaby for the Martini crowd without the Martinis or the crowds or the lullabies. JF: Um, hum DS: What really captured my heart was the rollicking and wistful This is for You and the bizarre Godspeed You! Black Emperor-meets-Burt Bacharach-instrumental Gravity. Morning Stars My Place In The Dust is one of the must hear albums of this year JF: Nice quote, maybe the label will use that in their press kit. DS: Maybe.
Toronto 2003-06-01
Lovers of that moody English sound will want to check out MORNING STAR and their superb new release, My Place In The Dust (on D7). The Bristol-based group comprise players who were active on that city's triphop scene, but this record is more song-based, along the lines of TINDERSTICKS and COUSTEAU. Their crisp instrumentation and the mixing work of JOHN PARISH (PJ HARVEY's producer) add to the haunting melancholy of the Morning Star sound.
Kerry Doole The Coast (weekly)Halifax, NS Thursday, June 5, 2003
Morning Star, My Place in the Dust (D7 Recordings)
This album is a gem wrapped in early-'80s Britpop, an effort that finally has all the lushness of orchestration sans references to the Beach Boys' Pet Sounds. Multi-instrumentalist Jesse D. Vernon (alias Morning Star) takes us on a sonic journey ranging from Nick Cave-ian baritone to Velvet Underground pop and symphonic samplings. This is a multi-listen disc-the first run-through comes off as pretentious, the second time the infection begins to take and by the third listen, brilliance.
- Colin MacKenzie |
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Exclaim Magazine Morning Star On My Place in the Dust, Morning Star delivers a dizzying collection of night music that would be comparable to a Morrissey Greatest Hits album if his work were half as accomplished. The album is the brainchild of Bristol native Jesse Vernon, who is backed by Jim Barr and John Baggott of the brilliant Portishead. Together, their songs place soul-rousing writing inside of atmospheres drawn from a Tom Waits dream of the afterlife. Never once flinching into pop accessibility, the album flows on a cloudy drone that peaks during the stellar fuzz of "This is For You" and ends with the rousing "Keepers of the Fire." So while the nu-crooner revolution may not exactly be at hand, My Place in the Dust at least makes a good case for it. |
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Montreal |
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LA
PRESSE POP De Bristol, Morning Star éblouit autrement La brume matinale de la côte anglaise se dissipe lorsque ces rimes sont entonnées, les rayons d'une étoile mystérieuse ont tôt fait de la percer. Dès lors, on applaudit l'humilité, la clairvoyance d'un titre qui résume son créateur: My Place In the Dust. Ces fréquences confortent l'esprit sans complaisance aucune. Ces rythmes lents appellent au calme méditatif, sans déloger les vertiges de l'intérieur. La lourdeur rock n'y est exprimée que lorsque absolument nécessaire. Au service de chansons solidement construites, ces arrangements magnifiques dérogent des fréquences auxquelles les artistes de Bristol (Massive Attack, Portishead, Tricky, etc.) nous ont habitués. Il n'est point question de trip hop du côté de Morning Star, qui éblouit autrement. Sauf exception, les engins numériques ne servent qu'à capter les sons émis par les guitares, basse, violon, orgue, piano, cuivres, anches et choeurs. À maximiser la qualité orchestrale. À en renforcer les arguments organiques. On ne se surprendra pas que John Parish, habitué à soutenir de grands artistes (PJ Harvey, Tom Waits, Eels, etc.), ait officié à la table de mixage aux côtés de Jesse D. Vernon, celui qui fait briller si fort cette étoile du matin. Alain Brunet |
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Montreal
Mirror Alternative paper in Montreal |
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Ottawa
Citizen |
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The
Vancouver Province MORNING STAR: My Place in the Dust (D7) The Province is the largest daily paper in Vancouver. |
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THE
CHRONICLE HERALD |
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SEE Magazine.com May 1, 2003 Review in the alternative weekly magazine in Edmonton, Alberta |
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Toronto
Star review |
KingKong
Online Magazine (Belgium)
by sebastien carbonnelle from http://kingkong.be/default.asp?r=9
Comme une l’étoile du matin dans une religion secrète, ‘My Place In Dust’ (Microbe/Bang!) s’écoute avec la conviction intime qu’il s’y passe quelque chose de magique. Produit par John Parish (Giant Sand, PJ Harvey…), ‘My Place In Dust’ est une utopie permanente, mariant ballades acoustiques et chaleureuses harmonies vocales, texture veloutée de la soul et languissants rythmes bossa, s’y rencontrent beauté naturelle de ballades acoustiques et arrangements travaillés, choc d’un charme subtilement suranné et de la plus grande justesse de chaque instant. Projet construit autour de Jesse Vernon (Moonflowers, Invisible Pair Of Hands,…), Morning Star vient de Bristol. Nous avons accompagné le groupe, pour sa halte à Bruxelles avant sa tournée française, toute la journée: de l’interview d’après-midi au superbe concert de la soirée, en passant au détour par le sauna de leur hôtel où nous avons assisté à une miraculeuse session privée. Heureusement, kingkong en a gardé pour vous le meilleur et vous y convie également dans la vidéo ci-contre.
Ils viennent de Bristol et leur album ‘My Place In Dust’ (Microbe/Bang!) est d’une époustouflante beauté. Morning Star, ce nom semble avoir été inventé pour leur musique, tant il dessine à merveille ce que la musique nous évoque. Qu’en pense Jesse? Morning Star Small Orchestra est-il le nouveau nom du groupe, puisque beaucoup d’autres choses réfèrent déjà à Morning Star? Quel est la place des arrangements dans sa musique? Les parties instrumentales sont-elles écrites au moment de composer la chanson? Produit par John Parish, il semble que tous les disques auquel touche cet homme dégagent chaque fois une atmosphère magique et fragile. Quel a été son travail sur ‘My Place In Dust’? Une chose évidente, est que Jesse aime jouer avec d’autres gens… Membre par le passé des Moonflowers, Jesse semble avoir conservé beaucoup de choses de cette expérience. Et même une chanson de ce groupe sur ‘My Place In Dust’ : Keepers Of The Fire. J’ai lu cette phrase à propos de leur musique : c’est de la «pop musique intelligente, qu’en pense Jesse? Est-il vrai que ses influences remontent à des choses très anciennes, jusqu’au années 30 – 40 - 50? Comment peut-on sentir ces influences dans la musique? Dans un TOP5 des disques qu’il aime, il y a cette chanson des Beatles ’This Boy’. Peu de gens se réfèrent à cette plus ancienne période des Beatles… Beaucoup de gens trouvent des similarités entre la façon d’écrire de Jesse et celle de Léonard Cohen. C’est vrai qu’il y a la même façon de dire ces choses magiques très simplement. Jesse aime aussi Jonathan Richman. Ne travaille-t-il pas aussi en ce moment sur une musique de film? Petite présentation du groupe par Jesse : Avec la collaboration de Rasha, qui avec Amy joue dans le groupe (féminin) Mooz. A ne pas confondre avec Muse… Adam prête également ses fantastiques mélodies de clavier à Ptarick Duff (le barde de Bristol, vu récemment en compagnie de Zita Swoon en Flandres) et Mady qui tient la caméra est dans un projet de jazz. Il y a aussi un Français: Benoît du Ben’s Symphonic Orchestra, projet solo électro-acoustique dont on s’impatiente d’entendre une suite aux premiers essais prometteurs
Les Inrock.com
Trésor le mieux caché de Bristol, Jesse D. Vernon est le noyau incandescent de Morning Star. Dans son deuxième album, My place in the dust, cette star en devenir révèle ses complexes desseins : orchestrer Leonard Cohen ou enregistrer dans les bois. Sur la pochette de My place in the dust, pas de photos de Jesse D.Vernon. On l'imagine en crooner, en dandy, en romantique, qui nous invite à partager sa vision d'une musique à la croisée du folk, de la pop, de la bossa, du jazz, du lazy-listening, rock psychédélique, de la chorale paroissiale et de l'extase sensuelle. On découvre en fait un petit gars frisé au visage poupin, un chanteur-compositeur-arrangeur très doué, et d'une humilité désarmante. My place in the dust est un disque assurément paresseux, pantouflard, cosy. Jesse D. Vernon préfère faire chanter des filles ou une chorale. Il laisse le premier rôle à ses excellents musiciens, il suggère des ambiances. Ses chansons semblent toujours à l'état d'ébauche, de fantasme exotique un peu nostalgique. Jesse D. Vernon compose des chansons comme s'il scrutait la mer en attendant qu'elle recrache l'épave d'un galion ou un coquillage plus beau que les autres. Stéphane Deschamps 13 nov. 2001
last update 26/11/04 | ||||
The Opposite Is True Disco-Ordination
Records DOCD03 |
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